Dans les universités du Royaume d’Italie, la présence des étudiants étrangers était quantitativement de faible importance, au moins jusqu’au début du XXème siècle: à ce propos nous ne disposons pas de données statistiques significatives– ni globales, ni par université – du moins jusqu’en 1906, et tout porte à croire que ce manque d’attention signale la marginalité du phénomène. Mais avant et après la première guerre mondiale on peut vérifier un trend ascendant. Toutefois la dimension numérique des fluxes d’étudiants étrangers, leur distribution dans le temps, la mappe géographique de leur provenances et des athénées d’adoption pendant les premiers 40 ans du XX siècle sont difficiles a reconstruire d’une façon systématique et approfondie a cause de la discontinuité et de la hétérogénéité des sources officielles et des séries statistiques disponibles . L’ intervention se propose d’aborder quelque élément constitutif de ce panorama soit sous le profil chronologique que quantitatif ; de reconstruire pendant les différentes phases les motivations des étudiants dans cette mobilité et les conditions de l’hospitalité /intégration qui leur a été offerte en relation au contexte institutionnel et politique italien ; d’approfondir quelque aspect de cette thématique pendant le «ventennio » fasciste , a partir de la promotion et ouverture conséquents a un projet d’expansion culturelle et de propagande idéologique dans les premières années, et après de rigoureux control et enfin de sélection politique et aussi de discrimination, spécialement a détriment de la composante juive.

Les universités italiennes et les étudiants étrangers. Evolution des migrations, cadres normatives, climats politique-culturels de le début du XXème siècle à la fin du régime fasciste

SIGNORI, ELISA
In corso di stampa

Abstract

Dans les universités du Royaume d’Italie, la présence des étudiants étrangers était quantitativement de faible importance, au moins jusqu’au début du XXème siècle: à ce propos nous ne disposons pas de données statistiques significatives– ni globales, ni par université – du moins jusqu’en 1906, et tout porte à croire que ce manque d’attention signale la marginalité du phénomène. Mais avant et après la première guerre mondiale on peut vérifier un trend ascendant. Toutefois la dimension numérique des fluxes d’étudiants étrangers, leur distribution dans le temps, la mappe géographique de leur provenances et des athénées d’adoption pendant les premiers 40 ans du XX siècle sont difficiles a reconstruire d’une façon systématique et approfondie a cause de la discontinuité et de la hétérogénéité des sources officielles et des séries statistiques disponibles . L’ intervention se propose d’aborder quelque élément constitutif de ce panorama soit sous le profil chronologique que quantitatif ; de reconstruire pendant les différentes phases les motivations des étudiants dans cette mobilité et les conditions de l’hospitalité /intégration qui leur a été offerte en relation au contexte institutionnel et politique italien ; d’approfondir quelque aspect de cette thématique pendant le «ventennio » fasciste , a partir de la promotion et ouverture conséquents a un projet d’expansion culturelle et de propagande idéologique dans les premières années, et après de rigoureux control et enfin de sélection politique et aussi de discrimination, spécialement a détriment de la composante juive.
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