La distribution de la vipere aspic dans le nord de la còte méditeranéenne de la Toscane est limitée au nord de la rivière Serchio et au sud de la rivière Arno, mais pas entre les deux. Des analyses de la qualité de l'habitat on mentre une forte correspondance dans toutes les zones (nord, centre et sud) et toutes les espèces associées, Lacerta viridis, Podarcis muralis, P. siculus et Chalcides chalcides qui sont présente dans les trois zones confirment la qualité de l'habitat actuel, aussi dans la région centrale caractérisée par l'absence de Vipera aspis. Des recherches archéologiques et historiques ont mis en évidence que la parile centrale a été submergee depuis 1000 avant J C jusqu'à près de 200 ans avant aujourd'hui. De plus, depuis le XVI et XVII sièces, deux imporiants canaux artificiels, creusés par l'homme pour favoriser le drainage de toute la zone, courent de l'ouest à l'est traversant la parile centrale, procurant de fories barrlères additionnelles pour la majorité des espèces qui ne volent pas. Des analyses récentes de l'ADN mitochondrial ont aussi révélés que les populations du nord et du sud sont plus liées génétiquement, respectivement aux populations plus nordiques et plus méridionales, et pas entre elles, soutenant l'hypothèse que les vipères aspics du nord de la rivière Serchio (région nord) et celles du sud de la rivière Arno (région sud) n'ont jamais été capables de coloniser la zone centrale de manière permanente, d'étre en contact et de se reproduire.

Contraintes liées à l'habitat hìstorique des routes de colonisatìon de la vipere aspic dans une région cotière et fragmentée du nord de l'Italie

SACCHI, ROBERTO;
2015-01-01

Abstract

La distribution de la vipere aspic dans le nord de la còte méditeranéenne de la Toscane est limitée au nord de la rivière Serchio et au sud de la rivière Arno, mais pas entre les deux. Des analyses de la qualité de l'habitat on mentre une forte correspondance dans toutes les zones (nord, centre et sud) et toutes les espèces associées, Lacerta viridis, Podarcis muralis, P. siculus et Chalcides chalcides qui sont présente dans les trois zones confirment la qualité de l'habitat actuel, aussi dans la région centrale caractérisée par l'absence de Vipera aspis. Des recherches archéologiques et historiques ont mis en évidence que la parile centrale a été submergee depuis 1000 avant J C jusqu'à près de 200 ans avant aujourd'hui. De plus, depuis le XVI et XVII sièces, deux imporiants canaux artificiels, creusés par l'homme pour favoriser le drainage de toute la zone, courent de l'ouest à l'est traversant la parile centrale, procurant de fories barrlères additionnelles pour la majorité des espèces qui ne volent pas. Des analyses récentes de l'ADN mitochondrial ont aussi révélés que les populations du nord et du sud sont plus liées génétiquement, respectivement aux populations plus nordiques et plus méridionales, et pas entre elles, soutenant l'hypothèse que les vipères aspics du nord de la rivière Serchio (région nord) et celles du sud de la rivière Arno (région sud) n'ont jamais été capables de coloniser la zone centrale de manière permanente, d'étre en contact et de se reproduire.
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